Déprécié pour ses errements, Thomson ne vaut plus grand chose

Le cours de Thomson depuis 2003. © JDN

Incapable de définir une stratégie claire, Thomson paye ses errements en bourse. Depuis le débarquement de son PDG Franck Dangeard, le titre a plongé dans les abîmes au point d'être réduit au statut de "penny stock" en décembre dernier. Le groupe d'électronique, qui a accusé une perte nette de 1,9 milliard d'euros en 2008, affiche également une dette financière de 2,1 milliards d'euros. Du coup, la Société générale, un de ses principaux créanciers monte dans son capital.

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