Le café, plus fort que le coronavirus ?
La propagation du Covid-19, qui provoque une crise sanitaire sans précédent, a un impact sur l'économie mondiale et l'on observe une baisse du coût des matières premières.
Chez l’homme ainsi que chez l’animal, il existe une multitude de virus qui sont à la base de maladies respiratoires, il s’agit des coronavirus. Ainsi, il subsiste plusieurs coronavirus dont les manifestations peuvent aller d’un simple rhume, à des pathologies plus graves comme l’affaiblissement su système immunitaire. Comme infections respiratoires dangereuses, il y a le syndrome respiratoire du Moyen-Orient désigné par le sigle MERS et le SRAS qui est le syndrome respiratoire aigu sévère.
Contrairement aux autres épidémies, elle a su vite se développer et échapper au contrôle des médecins et des centres de santé publique. Les urgences et les salles de réanimation des pays les plus touchés sont débordées en attendant les vaccins dans un avenir proche.
Pour freiner la propagation du virus et diminuer le taux de mortalité, les autorités sanitaires informent sur son mode de contamination et les moyens d’éviter le virus.
Toutefois, la dernière infection respiratoire en date est désignée par le terme de Covid-19. Il est question d’un nouveau type de virus qui a été découvert dans l’hôpital de Wuhan en Chine à la période de décembre 2019. Ce mal se distingue à l’aide certains symptômes comme la fièvre, la fatigue et la toux sèche. D’autres symptômes permettent de distinguer le Covid-19, mais chez certains patients les symptômes ils sont superficiels ou inexistants. Cependant, la santé publique espère bientôt un vaccin pour éradiquer cette maladie virale.
Le café comme survivant du coronavirus
Au nombre des produits qui ont subi une baisse de la demande en raison de la pandémie du coronavirus, ne figure pas le café. En effet, le plus grand producteur de café qu’est le Brésil connait une situation différente de celle observée par le monde. Il s’agit de fortes pluies qui depuis des semaines ne cessent de tomber sur les plantations de cacao. Connaissant l’effet que peut avoir la pluie sur la culture du cacao, beaucoup spéculent sur une raréfaction du produit dans les prochaines semaines. Cet état de choses entraînerait une hausse brutale du prix du café.
Ainsi, l’Arabica, une variété de café appréciée par les consommateurs a connu une hausse du prix et ce depuis longtemps de l’ordre de 1% sur les 450 grammes, ceci faisant du café la matière première n’ayant pas subi les affres de la crise du coronavirus.
L’impact de la pandémie du coronavirus sur l’économie mondiale
L’épidémie a été reconnue quelques semaines plus tard comme une pandémie par l’OMS. Dès lors, les experts en économie lui ont déjà donné un nom, il s’agit du krach coronavirus, la pandémie a touché presque tous les secteurs d’activité. Celui des matières premières importées est l’un des secteurs atteints et les répercussions s’observent sur la bourse des valeurs.
Ainsi, le cours boursier de la plupart de ces matières premières a connu une baisse significative. Par exemple, le prix du baril de pétrole a diminué de moitié, de 75 dollars nous sommes passés à 35 dollars. Cela est dû à la fermeture des différentes frontières pour l’acheminement des matériaux.
De plus, on assiste à l’expansion du chômage technique. Les industries chinoises émettent désormais moins de dioxyde de carbone et cela est dû à la cessation des activités de production. Cependant, il existe certaines matières premières qui ont été épargnées en raison d’autres facteurs macro-économiques.