Zebestof (le groupe Figaro) continue de faire confiance à OpenVZ

Chez Zebestof, on pointe la relative jeunesse de Docker, et les faiblesses qui ont pu lui être reprochées dans la sécurité et la gestion de la persistance des données. © Capture JDN

Spécialiste du marketing programmatique (ou RTB), Zebestof diffuse 9 milliards de messages publicitaires personnalisés chaque année.

Lors du développement de sa plateforme en 2013, Docker n'existe pas encore (sa version 1.0 sera lancée en 2014). Mais Zebestof entend exploiter immédiatement la technique, alors tout juste émergente, qui fera ensuite le succès de Docker. Objectif de la start-up : tirer parti de la légèreté du container à la fois pour optimiser la densité d'applications par machine, et pour réduire les cycles de développement - en utilisant les containers pour les bascules en production.

"Nous avons opté pour la technologie OpenVZ qui, à l'époque, était mure. Nous n'avons pas été déçus", note Xavier Mesnil de Zebestof.

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