4e : le vin doux naturel

Le monde de l'alimentaire a ses termes bien à lui. Les vins doux naturels sont par exemple le porto, le muscat, le malaga ou encore le madère. Et malgré le prestige de ces noms, les ventes sont en baisse en valeur : près de 50 millions d'euros de chiffre d'affaires perdu entre 1997 et 2008. Si le nombre de références est quasi stable, la surface de vente dédiée, elle, a dégringolé de 23%.

Il faut dire que les clients semblent avoir perdu le goût de ces alcools, avec un taux de pénétration tombé en 2008 à 18,4%, contre 27,2% en 1997. Ce qui ne pardonne pas une fois associé à un recul des quantités moyennes achetées : 3,3 litres en 2008 contre 3,8 litres en 1997.

 Evolutions entre 1997 et 2008 :