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Sophia Loren dans l'édition 2007.
Photo © Calendrier Pirelli 2007, photographié par Ines Van Lamsweerde et Vinoodh Matadin, Sophia Loren
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Distribué gratuitement, il sert avant tout à l'image de la marque
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Le plus connu, le plus prestigieux, le plus select. Premier du genre, le calendrier Pirelli accumule forcément les superlatifs. Créé en 1964 dans sa version internationale, distribué gratuitement aux clients les plus prestigieux de la marque de pneumatiques, il n'est tiré qu'à 45.000 exemplaires, dont 1.000 seulement réservés à la France. Il a bâti sa réputation en faisant appel aux plus grands photographes. En 1964, pour la première édition, c'est Robert Freeman, le photographe des Beatles, qui a été choisi.
Pour se démarquer, le calendrier innove sans cesse. En 1987, "The Cal", comme le monde de la photographie l'appelle, est ainsi le premier calendrier entièrement consacré à des modèles noirs. En 1990, il sera entièrement en noir et blanc. Dans la décennie 90 apparaissent pour la première fois les stars (Naomi Campbell, Monica Bellucci, Milla Jovovich
), y compris des hommes : Robert Mitchum, John Malkowich, Bono.
En 2007, "The Cal" crée encore l'événement en immortalisant la grande Sophia Loren (photo) aux cotés de Penelope Cruz, Hilary Swank ou encore la Française Lou Doillon.
Sur le marché des collectionneurs, les calendriers s'échangent entre quelques centaines d'euros pour les plus récents, et plusieurs milliers pour les plus anciens.
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