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Photo © Fischer, Tandeau de Marsac, Sur et associés
 

"Quand j'ai prêté serment, en 1985, le droit pénal était en chute libre", explique Pierre-Olivier Sur. "Après l'abolition de la peine de mort, cette matière intéressait moins. Il n'y avait pas encore d'affaire de pédophilie, ni d'abus de biens sociaux."

Pourtant, le jeune avocat choisit alors de devenir pénaliste. Ses premières affaires le conduisent à défendre les traficants de drogue, il plaide devant les Assises. "Mais comme j'étais passé par Sciences-Po, j'avais beaucoup d'amis dans le monde des affaires", avance-t-il pour expliquer son évolution vers ce milieu.

Il a défendu André Guelfi dans l'affaire Elf, Bernard Poussier dans l'Angolagate, les parties civiles face au Crédit Lyonnais et même le président Campaoré du Burkina-Fasso. En ce moment, c'est le dossier de l'Erika qui l'occupe. Mais à côté de ces grosses affaires, il continue de plaider dans des dossier moins médiatiques. "Quand le prêtre Guy Gilbert me demande de défendre gratuitement des personnes qui n'ont pas d'avocat, j'accepte volontiers."


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Jean-Pierre Versini Campinchi Jean-René Farthouat Thierry Vassogne Pierre-Olivier Sur Gabriel Sonier Pierre-Yves Chabert Maurice Lantourne
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