Ces marques que les urbains s'arrachent

Pete Doherty est l'égérie de la nouvelle campagne de publicité de The Kooples. © The Kooples
A chaque catégorie sociale ses symboles d'appartenance et de reconnaissance par les pairs. Ceux qu'on appelle aujourd'hui les urbains, étudiants et jeunes actifs vivant dans les grandes métropoles, constituent une catégorie à part entière. A ce titre, ils ont, eux aussi, leurs propres codes. Pour les marques qui travaillent dur afin obtenir leurs faveurs, ils présentent une singularité : les urbains ont la fâcheuse habitude de prendre le contrepied de la tendance du moment. Il n'est pas rare qu'ils aient un petit faible pour les étiquettes qui traduisent un esprit underground. Dès lors qu'elles deviennent plus "grand public", les urbains se détournent peu à peu des griffes qui ont jadis attiré leur convoitise. Pour les entreprises, tout le défi est là : adopter une stratégie qui permette à la fois de conquérir le plus grand nombre tout en préservant ce petit je-ne-sais-quoi élitiste. Les marques qui suivent ne dérogent pas à la règle et jouent sur les deux tableaux.
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