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"Aujourd'hui, je ne m'en sens pas capable. Je tâtonne encore" |
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Hugo A.
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"Si une opportunité se présente, pourquoi pas ?" |
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Benjamin
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"Je me renseigne auprès des traders" |
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Hugo L.
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"Tous mes amis veulent être traders car ils voient l'argent facile. Moi, j'en suis guéri" |
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Raphaël
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Sur six jeunes investisseurs, un seulement exclut totalement de faire de la bourse un métier. Même Hugo L., qui "malgré la claque de la perte de 75.000 euros, a envie de continuer dans cette voie là". Pour cela, il "discute déjà avec des traders, qui (lui) conseillent HEC ou des écoles d'ingénieurs". Benjamin est aussi ouvert à une telle perspective, mais "si une opportunité se présente".
Raphaël, de son côté, se "pose encore la question", même s'il semble s'écarter de la voie suivre, puisqu'il fonde en ce moment une société avec des amis.
Hugo A. et Amaury, eux, sont dans l'expectative, attendant de voir "s'ils se prennent de passion pour la bourse". Hugo A., aujourd'hui, ne s'en sent pas capable. Amaury est lui partagé entre une "mentalité d'entrepreneur" et des marchés qui "commencent à devenir une passion". Reste qu'il est "attiré par la gestion de patrimoine"
Pierre est donc le seul à définitivement exclure de devenir un jour trader. "Rester coincé toute la journée derrière un écran, subir un tel stress", très peu pour lui. Il a "envie de profiter" et se voit plutôt devenir "ingénieur puis directeur commercial".
