Si au minimum
les deux-tiers des salariés notent favorablement leurs dirigeants, de fortes
disparités apparaissent selon les pays. Alors qu'aux Etats-Unis, les
réponses très favorables atteignent 41 %, elles ne sont que
de 10 % en France, soit le chiffre le plus bas. Pourtant, les salariés
français ne sont que 5 % à juger très défavorablement
leurs patrons, alors que ce chiffre atteint les 10 % au Royaume-Uni.
Selon le cabinet de conseil en management BPI, ces résultats montrent
"des caractéristiques propres aux pays européens où souvent une distance/défiance
est installée dans les entreprises." En opposition au modèle américain
où la distance entre dirigeants et dirigés est beaucoup plus faible.
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