Dans certains quartiers de la capitale où les annonces type Airbnb pullulent, près de 70% d'entre elles ne font pas l'objet d'une déclaration auprès de la mairie, pourtant obligatoire depuis fin 2017.
Logiquement, on pourrait s’attendre à ce que ce marché ultra-concurrentiel soit dominé par des sites web aux performances particulièrement aiguisées. Les résultats sont globalement décevants.
L'américain HomeAway, qui possède 12 sites de location de vacances entre particuliers dont Abritel.fr, a réalisé la plus grosse levée Internet depuis 8 ans. Son modèle lui permettrait-il de résister à la crise ?