-
Chroniques de Raphaelle Hutin Menajovsky
-
DG / DGA, Rézosocial
Raphaelle Menajovsky est depuis 1999 dans le web. Après avoir commencé sa carrière chez Tiscali sur les contenus et le display, elle a ensuite co-créé son agence de marketing à la performance, iando, qu'elle a revendue à Havas Media où elle est restée plusieurs années pour diriger le département Search & Performance. Plus récemment, elle a dirigé chez Brandalley les problématiques d'acquisition clients. Raphaelle dirige aujourd'hui la société Leverbiz qui conseille les acteurs du e-commerce dans la gestion de leurs canaux marketing on-line, notamment sur les méthodes d'attribution, à travers l'exploitation de leurs données Analytics et CRM.
Suivre sur :
Linkedin
Dernières chroniques de Raphaelle Hutin Menajovsky
-
Les cashbackers volent des ventes en dernier clic et n’apportent aucune valeur ! Il faut les couper d’urgence ! Chiche ?
-
Les 2 mon capitaine ! Le marketing n’est pas de l’intuition, le marketing n’est pas de la lecture dans un marc de café, le marketing est fondé sur l’analyse de données.
-
Les enjeux de la connaissance clients sont stratégiques pour les sites : optimisation des taux de transfo, baisse des coûts d’acquisition, avance sur la concurrence… et les nouvelles possibilités autour de la data ouvrent de nouvelles opportunités. Les directions marketing s’impliquent davantage sur le sujet : et vous ?
-
Une grande partie de vos ventes sont générées par la marque sur Google ? Bravo, vos efforts de communication ont porté. Et si cela révélait également autre chose ?
-
Il n’y a plus de raison de séparer les équipes fidélisation et acquisition, en termes de métiers et d’objectifs business. Les regrouper est une transition délicate en termes d’organisation, mais bénéfique pour l'efficacité. Raisons et enjeux d’une nécessaire réorganisation des équipes marketing.
-
Valoriser les canaux qui ont créé la relation au début du chemin de l’internaute (et pas seulement en dernier clic) est la clef du succès pour optimiser ses coûts d’acquisition.
-
La newsletter n’est pas le meilleur levier de fidélisation : si elle intervient dans la majorité des chemins des internautes avant une commande, elle est moins souvent l’élément déclencheur de la commande. Quel est alors son apport réel ?
-
Comment juger de la rentabilité de ses investissements marketing lorsqu’on ne sait pas vraiment quelle campagne pub a généré la vente ? La difficulté est que les clients cliquent en général sur plusieurs publicités avant d’acheter (souvent plus de 40 clics pour une commande !).
