Malgré une promesse attrayante de liberté et d'autonomie, l’holacratie a échoué à révolutionner le fonctionnement de l'entreprise, piégée entre le concept "d’entreprise libérée" et de la nouvelle dictature du "bonheur au travail". La véritable révolution a lieu ailleurs, dans la transformation des managers et des aspirations des salariés.