Dans un monde imprévisible, une architecture composable devient la clé pour rester pertinent !

Pour la plupart des marques, offrir des expériences cohérentes et personnalisées sur l'ensemble des canaux en ligne est à la fois vital et complexe.

L’accélération des délais de développement, mais aussi de la transformation digitale ajoute à cette complexité. Pour créer les expériences attendues par leurs clients, les marques s’équipent de plateformes d’expériences digitales (DXP), qui se révèlent encore plus puissantes lorsqu’elles sont composables.

Délivrer les expériences attendues : les marques face à 4 grands défis

Marketeurs, développeurs, spécialistes de la donnée, et autres fonctions impliquées dans la création d’expériences digitales sont aujourd’hui confrontés à 4 grands défis. Pour commencer, ils doivent faire face à une multiplication des applications, qui se complexifient pour prendre en charge l’ensemble du cycle de vie des clients. Cette hausse génère des quantités toujours plus massives de données clients. Si les marketeurs ont bien conscience de l’utilité de cette donnée, ils savent également qu’elle doit être unifiée et analysée pour permettre la compréhension fine de leurs clients, mais aussi générer des informations prédictives, afin d’offrir des expériences personnalisées. 

Davantage d’applications et de données, cela signifie aussi davantage de risques. Les propriétés digitales doivent respecter les standards de la marque, ainsi que les réglementations en vigueur en matière de confidentialité. Or, 2 consommateurs sur 5 estiment que certaines marques ne traitent pas correctement leurs données personnelles1. Enfin, dernier grand défi à relever, celui de l’augmentation du nombre de contenus, au cœur de toute expérience digitale, avec des attentes toujours plus grandes de la part des consommateurs dans ce domaine. Ces contenus doivent ainsi être déclinés sur tous les canaux, dans différents formats, styles et tons, mais aussi adapter leurs messages en fonction des événements. Plus de 8 sur 10 indiquent ainsi rencontrer des difficultés pour créer un contenu rapidement diffusable sur toutes leurs plateformes digitales1.  

La « composabilité » pour gagner en rapidité, en agilité et en flexibilité

Les architectures techniques, fermées et monolithiques, mises en place par les marques s’avèrent aujourd’hui insuffisantes pour adresser ces grands défis. Une architecture composable apparaît, dans ce contexte, comme l’une des meilleures alternatives. Celle-ci va simplifier l’intégration de composants pertinents pour créer des expériences qualitatives et personnalisées et assurer l’évolutivité à mesure que de nouvelles attentes, modalités, mais aussi de nouveaux canaux apparaissent.

Pour comprendre comment fonctionne une DXP composable, il suffit d’imaginer la tranche d’un sandwich. Au-dessus, une couche d’expérience commune orchestre la diffusion de contenus et d’expériences de marques personnalisés, ce qui inclut la voix et le chat. En dessous, une couche de données, commune elle aussi, regroupe des informations clients issues de tous les services transactionnels. Entre ces deux couches, on trouve des services composables construits autour de 4 principes architecturaux connus sous le nom de MACH pour Microservices, API-first, Cloud-Native et Headless. 

Prenons l’exemple d’une entreprise qui propose des outils pour faciliter les ventes en ligne. Avec une DXP composable, elle va pouvoir personnaliser sa pile MACH avec les services qui correspondent le mieux à son cas d’usage : moteur transactionnel, système de paiement en un clic, etc. Tous ces éléments proviennent de partenaires externes complètement différents. Elle peut aussi accéder à des modules prédéfinis destinés à accélérer les parcours d’achat tout en permettant la découverte en temps réel et l’exécution des commandes à grande échelle.