Des attaques virales plus redoutées
Dépassant 60% des réponses, les attaques virales et informationnelles constituent une menace nécessitant des investissements prioritaires (un chiffre qui a très nettement progressé en un an).
C'est la conséquence de plusieurs facteurs : "une explosion des failles applicatives et du nombre de malwares détectés, conjuguée à certaines limites au niveau des logiciels anti-malware, en relation avec de nouvelles pratiques (Web 2.0, mobilité etc.)"
Pour près de la moitié des répondants, la cybercriminalité est une réalité. 46% d'entre eux juge l'impact des activités cybercriminelles "significatif" ou "très important". 52% le considère "nul".