Les réseaux sociaux : 2e application la plus bloquée sur le lieu de travail
Les réseaux sociaux font partie des services Web et applications faisant l'objet du plus de restriction de la part des directions informatiques. Les jeux en ligne et Twitter sont également ciblés.
Taux de réponses (plusieurs réponses possibles) | |
---|---|
Source : InsightExpress | |
Jeux en ligne | 40% |
Réseaux sociaux | 36% |
33% | |
Messagerie instantanée | 27% |
Blogs | 24% |
E-mails personnels | 18% |
Portail Internet | 14% |
Aucun de ceux-là | 9% |
NSP | 29% |
L'étude menée par InsightExpress pour le compte de Cisco montre que 38 % des salariés ne savent pas si leur entreprise a mis en place des politiques et règles spécifiques en matière d'informatique. Outre ce déficit d'information, 23 % des répondants (19% en France, 26% en Espagne et en Italie) déclarent que leur société ne dispose d'aucune politique concernant les usages qui sont autorisés pour les appareils tels que les ordinateurs personnels, les smartphones ou les téléphones portables
Parmi les salariés ayant connaissance des politiques et règles informatiques de leur société, environ les deux tiers (64 %) considèrent qu'elles pourraient être améliorées. Ceci est également vrai en France (68 %), en Espagne (72 %) et en Italie (63 %). D'après ces salariés, les politiques pourraient être actualisées afin de mieux refléter les besoins de la vie quotidienne et les modes de travail. Ces améliorations permettraient d'établir un équilibre acceptable entre l'usage des appareils, les médias sociaux, la mobilité et la flexibilité professionnelle.
Par ailleurs, l'usage des médias sociaux est diversement restreint selon les pays et le type d'entreprise. La moitié (51 %) des salariés interrogés dans le monde estiment que les médias sociaux, bien que sans rapport avec le monde du travail, apportent un équilibre dans la vie professionnelle. Cependant, deux personnes interrogées sur cinq (41 %) déclarent que l'accès à Facebook sur leur lieu de travail est soumis à restriction (36 % en France), tandis qu'un répondant sur trois (35 %) déclare que la connexion à Twitter est soumise à des restrictions similaires dans le cadre de son emploi ou à partir d'appareils à finalité professionnelle (33 % en France).