Le papier, maillon essentiel de la chaîne de communication

Alors que le papier demeure un support de communication indispensable, les entreprises mettent en oeuvre des outils pour automatiser les travaux de prépresse ou d'exécution graphique, pour générer des gains d'efficacité et de productivité.

Le papier n’est pas mort ! Certes, sa place évolue et le Web est en passe de devenir LE média. Mais pour les groupes de presse comme pour les entreprises, le papier reste un média essentiel dans la diffusion des informations et des messages de communication. N’en déplaise à certains qui prédisent sa disparition prochaine, le papier a encore un bel avenir devant lui.


Le papier reste un média irremplaçable et privilégié pour une grande variété de publications qui perdraient de leur impact si elles étaient publiées sur un autre support (magazines, catalogues, manuels, etc.). Ces parutions "print" ne risquent pas d'être détrônées par les supports numériques.

 

Pour les Directions de la Communication et du Marketing dans les entreprises, le papier conserve un rôle essentiel en termes d'image pour leur entreprise. Synonyme de qualité, la présentation des informations publiées sur le papier se veut le reflet de valeurs pérennes, c'est pourquoi il est aujourd'hui encore largement privilégié pour les informations commerciales (consumer mag, brochures commerciales, catalogues, flyers, mailings, etc.) et institutionnelles (lettres d'information, rapports annuels, etc.).

 

Pour les groupes de presse, la problématique est sensiblement la même : aucun support numérique ne pourra remplacer le plaisir de lire un journal ou un magazine à une terrasse de café ou à la plage. Et bien souvent, les internautes les plus assidus sont les plus gros acheteurs du support papier. En outre, les publications papier crédibilisent et légitiment le média web, tout en agissant en synergie avec lui.

 

Mais dans les circonstances actuelles, ces publications papier, impactées par les tarifs d'impression et de distribution, sont soumises à des contraintes budgétaires au sein des organisations. C'est pourquoi il devient nécessaire de chercher des moyens d'optimiser les processus de publication "print" et de trouver une solution pour publier mieux, plus vite et moins cher.

 

Pour ce faire, les entreprises et les groupes de presse disposent de moyens technologiques, à mettre au service du papier, comme les plates-formes éditoriales collaboratives, permettant de fluidifier les échanges entre les différents intervenants, de focaliser chacun de ces intervenants sur des tâches à valeur ajoutée, et d'automatiser les travaux de prépresse, d'exécution graphique,  ou de montage, pour générer des gains d'efficacité, de productivité, et donc des économies substantielles.

 

Ainsi, le papier ne serait pas mort, à condition toutefois de modifier ses méthodes de conception !