BNP Paribas propulse sa veille dans le 2.0 Text mining et agrégateur de Presse également de la partie
"Nous nous sommes tournés vers la solution qui nous laissait le plus de possibilités en termes de développement et qui nous permettait de mettre les mains dans le cambouis et de réaliser notre propre sourcing sans être dépendant de fils d'informations Web" avance Michel Bernardini.
Et le responsable informatique et de la communication de la direction des études économiques au sein de BNP Paribas de compléter : "mon expérience de plus de 20 ans dans le service de veille et une connaissance approfondie des outils de veille du marché tels que Digimind, LexisNexis, AMI Software ou encore iScope a permis de gagner du temps et éviter de se lancer dans une procédure un peu longue d'appel d'offres".
Chemin faisant, le choix de se tourner vers KB Crawl est alors pris courant 2005. Un choix judicieux au regard des bénéfices fonctionnels et d'usages apportés par cette solution. "Alors qu'auparavant la veille interne permettait un suivi régulier de 20 à 30 sites, elle a pu monter en puissance autour de 150 sites scrutés par mois", se réjouit Michel Bernardini.
D'autres auront également été mis en avant par les utilisateurs, au premier rang desquels l'amélioration de la collecte des informations contenues dans des pages HTML grâce à la fonctionnalité de scraping ainsi que l'optimisation des interfaces et des exports XML vers PolySpot.
BNP Paribas aura également été séduit par la très bonne satisfaction du point de vue des équipes support et help-desk de l'éditeur, ce dernier ayant également accompagné BNP Paribas pour la formation utilisateurs.
La mise en place de la solution de text mining de Temis en 2007 a par ailleurs permis de surindexer le fonds documentaire existant et permis de réaliser des extractions d'entités nommées ou économiques et de noms de pays dans le but de structurer le fonds documentaire et d'enrichir l'interface.
De même, les informations issues des bases de données internes sont désormais associées aux données de l'agrégateur de Presse Médiacompil, préféré à SNI et Factiva, qui livre de 300 à 400 articles par jour en provenance des journaux économiques.