Prix au m2 de l'immobilier à Nuits-Saint-Georges : derniers chiffres (21700)

Dans la ville de Nuits-Saint-Georges, le prix médian du m2 est de l'ordre de 1 930 €/m² net vendeur. Sur les six derniers mois, la tendance est à l'amélioration avec 13,53 % de progression.

Ville	Prix du m2	Evolution sur 6 mois
Nuits-Saint-Georges (21700)	1 990 €/m2	+14 %
Marsannay-la-Côte (21160)	2 340 €/m2	nc
Beaune (21200)	2 300 €/m2	+2 %
Chenôve (21300)	1 540 €/m2	-3 %
Longvic (21600)	2 120 €/m2	+11 %
Dijon (21000)	2 600 €/m2	+3 %

À Nuits-Saint-Georges vivent 1 503 familles. 11,1 % de ces foyers sont des familles monoparentales, 53,2 % sont des couples sans enfant et 35,7 % sont des couples avec un ou plusieurs enfants. Les habitants de la ville de Nuits-Saint-Georges sont à 30,2 % des jeunes de moins de 30 ans et à 10,8 % des plus de 75 ans. Les étudiants représentent 4,6 % de la population locale. Les femmes sont mieux représentées avec 53,4 % sur l'agglomération. La commune de la Côte-d'Or affiche 9,8 % de taxe d'habitation et 17,7 % de taxe foncière d'après la valeur locative des biens. La ville cumule 971 euros/habitant de dette publique. Alors que le revenu fiscal de référence est de 27 021 euros en France, il monte à 27 699 euros dans cette ville. Les habitants de la ville de Nuits-Saint-Georges sont à 87,7 % des salariés en CDI et à 11,1 % des cadres. Il faut aussi être attentif au taux de chômage de 9,8 %. A titre de comparaison, celui du département de la Côte-d'Or est de 8,5 %.

La superficie des habitations est variée avec 14,46 % de 2 pièces, 4,04 % de studios et 34,77 % d’habitations de 5 pièces et plus. Les résidents de Nuits-Saint-Georges sont 1 143 à être locataires. Ils sont en d'autres termes moins nombreux que les 53,92 % de propriétaires. À Nuits-Saint-Georges, le parc immobilier équivaut à 2 927 habitations pour une population de 5 421 personnes. La commune de la Côte-d'Or se qualifie aussi par une part de maisons de 54,90 % et un pourcentage d’appartements de 44,82 %. Le nombre d'habitations de la ville s'est accru de 2,63 % sur les cinq dernières années. Ensuite, 8,13 % des habitations sont des logements vacants et 88,83 % sont des résidences principales.