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Introduction
La lithographie par immersion
L'Ultraviolet Extrême
Les nouveaux semiconducteurs
La fin du transistor ?
Les optimisations
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En attendant la grande révolution technologique, les fondeurs s'intéressent de plus en plus au fonctionnement de leur puce et aux méthodes les plus simples pour en optimiser la consommation d'énergie.

Le silicium étiré s'est ainsi imposé chez la plupart des fabricants de semiconducteurs. Technique mise au point par IBM, elle consiste à accroître la mobilité des électrons en éloignant les atomes de silicium qui sinon s'alignerait de manière naturelle. Ce travail accroît jusqu'à 30% les performances de la puce produite.

Autre solution, les diélectriques low-k et ultra low-k qui composent les interconnexions entre les transistors. En les optimisant, les fabricants parviennent à réduire la perte de tension, les émissions de chaleur et la tension d'entrée. Là encore, les gains mesurés varient de 5 à 20% pour une puce.

D'autre part, Intel comme AMD comptent beaucoup sur leurs architectures pour se donner un avantage concurrentiel. En jouant sur le nombre d'instructions traitées par cycle, la fréquence d'horloge, le jeu d'instruction et le contrôleur mémoire, ils obtiennent des gains de performances intéressants (du Pentium 4 au Core 2 Duo, les puces Intel ont accru leur capacité de calcul de 10 à 50%).

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