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Chroniques de Alain Rétière-Lehideux
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PDG / Gérant, Tradebooster
Fondateur de TradeBooster, j’accompagne les PME productrices ou fabricantes dans la création, l’optimisation et la gestion de leurs ventes sur Amazon et les marketplaces (B2B, B2C, D2C).
✅ Certifié Amazon Seller Central Partner & Advertising Verified Partner, partenaire agréé Cdiscount et actif sur une dizaine d’autres plateformes, j’assure une veille stratégique quotidienne sur les évolutions du e-commerce, afin d’offrir à nos clients un avantage concurrentiel immédiat.
✅ Avec mon équipe, nous mobilisons tous les leviers – SEO, Ads, contenu enrichi, performance logistique, adaptation aux nouveaux outils IA comme Rufus d’Amazon – pour transformer leur présence digitale en véritables success stories.
✅Notre différence : un interlocuteur unique capable de piloter, selon le périmètre défini, l’ensemble des canaux e-commerce (Amazon, marketplaces, sites marchands), avec un ADN clair : servir la croissance durable des PME françaises et européennes.
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Dernières chroniques de Alain Rétière-Lehideux
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Être visible sur les deux premières pages de produits des Marketplaces ne s'improvise pas, il est nécessaire de bien connaitre les critères des algorithmes de recherche qui sont différents pour chaque Marketplace. Toutefois, certains points restent communs même si c'est dans le détail que se cache le diable et donc la performance.
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En tant que société de service, nous avons recensé début 2020 pour vous PME déjà plus de 120 marketplaces (hors vente de service) et nous avons voulu, un an après, voir ce qu'il en était.
Aujourd'hui, nous en avons recensées plus de 240 uniquement dédiées à la vente de produits manufacturés (hors vente de services et loisirs). Sachant que ce recensement n'est pas exhaustif, il montre toutefois que l'accélération est impressionnante avec un nombre de marketplaces qui a doublé en un an.
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L'importance des marketplaces pour les PME n'est plus à prouver. Malgré le renouveau des points de vente physiques, la vente en ligne demeure essentielle aux yeux de vos acheteurs, qui ont changé de façon durable leurs habitudes d'achat. Toutefois, vendre sur les marketplaces ne se fait pas en un clic. C'est un processus qui prend environ six mois entre le moment où vous créez votre compte et celui où la visibilité de vos produits sera au top.
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2020 a bousculé les tendances de consommation et d'achat de vins et spiritueux et accéléré les ventes du e-commerce. Les producteurs doivent s'adapter à ce nouveau contexte pour profiter pleinement de l'essor des ventes sur ce canal.
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Sur le secteur de la Beauté/Santé, de belles opportunités sont à saisir en 2021 à condition de capitaliser sur les enseignements de 2020. En effet, les confinements successifs ont provoqué une chute des ventes magasin. De plus, les femmes et les hommes sortant moins, ceux-ci ont moins pris soin de leur apparence. À cela s'ajoute le port du masque qui a eu un effet direct sur les ventes de maquillage et surtout du rouge à lèvres.
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Le marché du sport et du sportswear aura bien résisté au confinement, avec une baisse seulement de 0,8 % sur le deuxième trimestre 2020, selon une étude Kantar pour FashionNetwork, alors que dans le même temps, la vente de chaussures et d'accessoires a reculé de 9,2 %. Sans parler de la vente de textile, avec un recul estimé de son chiffre d'affaires de l'ordre de 17 % sur 2020 (selon l'Institut de la mode IFM).
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Le secteur du complément alimentaires a de belles perspectives de croissance en 2021 malgré sa chute inédite sur 2020 de moins 1.2%. Ce recul, toutefois limité, s'explique par l'effondrement des ventes des segments minceur, solaire et plus globalement beauté sur l'ensemble des circuits dû à la crise du Covid. En effet, les femmes et les hommes sortant moins, ceux-ci ont moins pris soin de leur apparence.
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Le Covid-19 a indéniablement changé les habitudes d'achat des Français et l'un des secteurs où cela est le plus remarquable est l'achat en ligne de produits alimentaires. C'est un véritable boom du e-commerce alimentaire à ne pas rater.
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2020 aura été l'une des pires années pour la vente de textile avec une un recul estimé de son chiffre d'affaires de l'ordre de 17% (selon l'Institut de la mode IFM) et en 2021 : quelles sont les tendances ?