Recentrer la fiscalité sur l’immobilier ! C’est le sens premier de la mutation de l’ISF vers l’IFI. En ligne de mire, l’improductivité supposée de l’immobilier qui n’apporterait qu’une contribution modeste à la croissance française. Lorsque l’on sait qu’en 2016, les activités de ce secteur représentaient 18% de la valeur ajoutée de l’économie, on doute de la cohérence d’une telle mesure. Les contribuables grognent mais les premiers à en souffrir sont encore les professionnels.