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Chroniques de Philippe-Georges Dabon
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Médecin, Auteur du livre Le tabou du stress au travail et de La méthode pour s'en sortir afin de rester en bonne santé
Médecin ostéopathe homéopathe auteur du livre "Le tabou du stress au travail et la méthode pour en sortir afin de rester en bonne santé"
Voir le site web : Auteur du livre Le tabou du stress au travail et de La méthode pour s'en sortir afin de rester en bonne santé
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Dernières chroniques de Philippe-Georges Dabon
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Que ce soit pour le management d’entreprise afin d’obtenir le maximum de rendement ou le « show mortel » d’une téléréalité pour augmenter l’audimat, le stress est devenu notre moteur sociétal universel.
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Le label ventant les qualités d’un produit sur un autre à fait ses preuves commerciales dans des domaines aussi divers que le bio ou les économies d’énergie. Ne serait-il pas, dans celui du stress en entreprise, une solution efficace pour y développer vraiment le « bien être au travail » ?
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Même si il reste encore tabou dans certaines entreprises, le stress fait de plus en plus l’objet de colloques ou de réunions qui abordent sans complexes le problème de la gestion du «bien être au travail». Seulement l’enjeu est devenu très important.
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Le stress provoque sur les personnes, des effets dits « positifs » et des effets négatifs. Ce sont les effets dits « positifs » qui sont à l’origine du stress de même nom, le « stress positif ».
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La société entrave l’Homme moderne avec des lois qui sous le prétexte de vouloir le protéger ne font qu’entretenir sa névrose voir la créer.
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Vues les conséquences médicales et sociales que le stress au travail fera subir aux économies du monde dans les années à venir en termes de dépendances et servitudes diverses pour nos enfants et petits enfants, on se demande si le compte pénibilité suffira à éviter ce qui va de plus en plus ressembler à une catastrophe sanitaire.
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Le stress utilisé comme mode de gouvernance d'entreprise est contre productif et non rentable. Contre productif car il rend les salariés malades et des salariés malades sont moins productifs que des salariés en bonne santé.