Pouvoir d'achat : les Français sous-estiment les économies qu'ils pourraient faire en matière d'assurance.
Des économies sous-estimées à réaliser en assurance habitation grâce aux assurtechs
Inflation, hausse des prix de l’énergie, “fin de l’abondance”… en cette rentrée, plus que jamais, le pouvoir d’achat est la première préoccupation des Français.
Le gouvernement l’a bien compris, le premier projet de loi de la mandature a porté sur le sujet. Outre la résiliation des contrats d’assurance « en trois clics », le ministre de l’Economie et des Finances a de nouveau demandé aux assureurs de faire un geste sur les primes “du quotidien” lors de son intervention devant le Medef. Bruno le Maire a ainsi confirmé ce qu’il avait déjà dit cet été, à savoir qu’il attendait des assureurs qu’ils “partagent le fardeau de l’inflation”.
En parallèle, il est indéniable que la hausse des prix impacte directement le coût des sinistres et donc l’indemnisation financée par les assureurs. Nous assistons également à une augmentation du coût des sinistres consécutive au réchauffement climatique. Selon la Caisse Centrale de Réassurance (CCR), d’ici 2050, nous connaîtrons une augmentation de 35% des coûts liés aux catastrophes naturelles.
Dans un tel contexte, la baisse des tarifs pourrait paraître inconciliable avec la nécessité de maintenir un bon niveau de protection, notamment pour l’assurance habitation. Et pourtant…
Faire des économies sans renoncer à un bon niveau de couverture et de service
Le rapport qualité/prix est aujourd’hui le principal critère de choix d’une assurance habitation, avec la rapidité d’indemnisation et la simplicité. Des atouts jugés essentiels pour 98%* des Français.
Pour autant, il convient de trouver un juste équilibre entre un bon prix et le niveau de couverture approprié. L’assurance la moins chère peut s’avérer être l’assurance qui coûte le plus cher sur le long terme, notamment le jour du sinistre !
A travers sa digitalisation, le secteur de l’assurance peut participer à redonner davantage de pouvoir d’achat aux Français, en particulier sous l’impulsion des néo-assureurs. Il est en effet d’ores et déjà possible - et souhaitable ? - de redistribuer aux clients les économies permises par la digitalisation du métier d’assureur. Les Français en sont d’ailleurs conscients, puisque 35%* d’entre eux estiment que l’arrivée de nouveaux acteurs sur le marché peut engendrer une baisse des tarifs.
Le modèle économique des néo-assureurs permet de proposer des tarifs compétitifs tout en maintenant des garanties très élevées et un niveau de service égal à celui des assureurs traditionnels,
Mais l'opposition entre assureurs traditionnels et néo-assureurs n'est pas inéluctable. En effet, être un acteur digital de l'assurance ne signifie pas pour autant supprimer toute interaction humaine. Bien au contraire. Il s’agit de mettre l’humain au cœur de la démarche en simplifiant les parcours de souscription tout en gardant un contact téléphonique ou visio en cas de sinistre.
Notre enjeu, en tant que néo-assureurs, réside aujourd’hui dans notre capacité à trouver la juste mesure entre digital et humain de sorte à permettre de proposer un prix plus bas tout en assurant un meilleur niveau de garanties et de services.
Changer d’assurance en 3 clics, pour les bonnes raisons
Dans la quête d’un meilleur pouvoir d’achat, faciliter la résiliation des contrats d’assurance est un bon point de départ, même si les conditions d’application restent à définir. D’ores et déjà, les néo-assureurs sont les plus en avance sur ce point, avec la possibilité de résilier les contrats à tout moment.
En outre, grâce au digital, les démarches de souscription sont, elles aussi, grandement simplifiées et personnalisées, permettant ainsi des économies substantielles pour les Français. Cela semble aujourd’hui évident, mais il a fallu que les néo-assureurs arrivent sur le marché pour que cette opportunité devienne une réalité pour les consommateurs...
3 clics pour résilier, 2 minutes pour souscrire… améliorer son pouvoir d’achat tout en maintenant un excellent niveau de couverture est désormais à portée de clics pour tous les Français.
*Source : Etude IFOP pour FRIDAY