Se mettre à la place du lecteur

Comprendre son lecteur permet d'éviter les fautes de goût. © Photomontage JDN /  Hemera / Thinkstock

"On n'écrit pas de la même façon à un docteur en biologie qu'au grand public", s'amuse Christophe Cachera. Le ton, la construction et le vocabulaire d'un texte doivent être adaptés au public qui va le lire.

Si cela peut paraitre évident dans des cas exceptionnels, ce questionnement reste indispensable pour les documents courants. Pourtant, bien souvent, on écrit davantage pour soi que pour les autres. Cela peut conduire à des formulations inutiles, des références non partagées ou des messages mal compris. Cette règle est aussi importante pour la rédaction de documents qui n'ont pas de destinataire spécifique. "Essayez de personnifier votre interlocuteur, en lui donnant un nom, une histoire, des centres d'intérêt", ajoute-t-il.

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