Nokia : rester à l'écart

Cours de l'action entre le 3 janvier 2007 et le 22 mars 2013. © JDN

Nokia a vécu un exercice 2012 éprouvant : les pertes se sont encore creusées à 3,11 milliards d'euros. Et 2013 s'annonce semblable malgré la baisse de 42% de la rémunération de son patron, le canadien Stephen Elop. L'équipementier norvégien paie au prix fort une erreur stratégique : ne pas avoir cru dans les mobiles digitaux au contraire d'Apple, de LG ou de Samsung. De plus, selon Cyrille Collet (CPR AM), Nokia semble "ne pas avoir compris qu'un téléphone portable était tout sauf durable : les gens aiment en changer fréquemment. Or ses appareils ne se distinguent pas par un design accrocheur...".

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