La croissance du volume d'affaires des différents secteurs est également
plus sage en 2007, puisqu'elle ne dépasse pas le seuil des 35 %.
Comme en 2006, c'est l'habillement et les textiles qui se taille la
part du lion avec une progression de 33 % de son volume d'affaires, soit
8 points de plus que la moyenne. Une bonne santé que ce segment doit en
partie aux performances réalisées par les ventes privées
(+ 47 % en un an), et pour l'autre, à la croissance des investissements
en ligne des marques de vêtements.
Au delà, avec une croissance de 32 % sur un an, l'équipement
de la maison (meubles, literie, décoration, bricolage) n'est pas en reste.
Mais son influence sur le dynamisme de l'ensemble des ventes en ligne est plus
limitée que celui de l'habillement, son poids relatif étant moins
important.
Enfin, le tourisme, qui reste l'un des poids lourd de l'e-commerce français,
affiche quant à lui une croissance de 26 % sur l'année, soit
un point de plus que la moyenne. Désormais, les ventes en ligne représentent
plus de 10 % de ce marché.