N°13 ex-æquo : Orléans, 10/20

Une vue d'Orléans. © Dominique Harozny

C'est avant tout les impôts fonciers qui pénalisent Orléans dans ce classement. En frôlant les 30%, le taux de la taxe sur le foncier bâti se trouve être l'un des plus élevés parmi les grandes villes de France. En revanche, le poids de la dette et la part de ses recettes consacrée au remboursement de la dette sont plutôt bons. Des finances plutôt saines qui ont peut-être favorisé la réélection de Serge Grouard.

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