Prix au m2 de l'immobilier à Cabara : derniers chiffres (33420)

Pour l'ensemble des biens immobiliers, dans la Communauté de communes Castillon/Pujols, le prix du mètre carré est estimé à 1 644 €/m² net vendeur. La valeur des terrains est fixée sur la base de 40 €/m².

Ville	Prix du m2	Evolution sur 6 mois
Cabara (33420)	1 644 €/m2	+12 %
Saint-Quentin-de-Baron (33750)	2 194 €/m2	-5 %
Libourne (33500)	2 424 €/m2	0 %
Castillon-la-Bataille (33350)	1 294 €/m2	0 %
Targon (33760)	2 301 €/m2	+8 %
Vayres (33870)	2 130 €/m2	0 %

À Cabara résident 209 ménages. 43,48 % de ces familles sont des couples avec au moins un enfant. 3,11 % sont des familles monoparentales et 53,42 % sont des couples sans enfant. La population de Cabara se compose de 31,58 % de jeunes de moins de 30 ans et 24,90 % de plus de 60 ans. Les étudiants composent à 4,35 % la population locale. La gent masculine est plus présente avec 50,20 % sur la commune. L'encours de sa dette publique atteint 233 € par habitant. La commune de la Gironde affiche un taux de 13,84 % de taxe d'habitation et un taux de 40,48 % de taxe foncière. Il faut aussi tenir compte du taux de chômage qui monte à 6,25 %. Les habitants de la ville de Cabara sont à 12,39 % des cadres et à 91,19 % des salariés en CDI. Alors que le revenu fiscal de référence est de 29 459 euros en France, il ne dépasse pas les 29 345 euros dans cette ville.
La commune de la Gironde se qualifie aussi par une part de maisons de 100,00 % et un pourcentage d’appartements de 0,00 %. La dimension des habitations est diversifiée avec 8,70 % de 3 pièces, 0,00 % de studios et 61,84 % d’habitations de 5 pièces et plus. Dans la ville de Cabara, pour une population de 512 habitants le parc immobilier rassemble 238 logements, c'est à dire une moyenne de 2,08 habitants par logement. Avec une superficie de 3 km2, la densité de population est de 149 habitants/km². Les résidents de Cabara sont moins locataires que propriétaires. Ces derniers représentant 89,37 % des occupants de logements. De plus, 6,72 % des logements sont des logements vacants et 86,97 % sont des résidences principales. En France, le pourcentage de logements vacants plafonne à 8,61 %. Le parc immobilier de l'agglomération n'a pas progressé depuis cinq ans avec seulement -0,84 % de nouvelles habitations.