Comparatif MBaaS : quelle plateforme cloud choisir pour lancer son app mobile ? Une plateforme cloud pour n’importe quel objet communicant

En avril 2015, Salesforce revendiquait déjà 2 milliards d’appels chaque jour aux API de Salesforce1. Un succès pour la plateforme cloud dévoilée fin 2013 par le leader du CRM en mode Saas. Parmi les atouts en faveur de la solution mobile défendue par Salesforce, son SDK.

Une intégration avec un grands nombre d'objets connectés

Accessible via API et les multiples SDK proposés par Salesforce, Salesforce1 propose les services de base d’un MBaaS, la capacité de programmer des microservices mais aussi de multiples intégrations vers Salesforce CRM et des applications tierces. © Capture / JDN

Le SDK question est disponible pour les principaux OS mobiles du marché, mais aussi un grand nombre de "wearables" : l’Apple Watch, l’Android Wear, les Google Glass, les bracelets connectés Jawbone, les Oculus Rift… Salesforce pousse son SDK sur tous les appareils capables de communiquer. L’usage de la plateforme Salesforce1 est sans nul doute poussé par ce dynamisme côté SDK.

La plateforme MBaaS est assez classique dans les fonctionnalités qu’elle offre : gestion des comptes utilisateur, service de stockage et de synchronisation des données, système de notification, etc. Ce sont les bases de toute plateforme MBaaS. A noter quelques particularités, dont l’intégration avec les réseaux sociaux, mais surtout la capacité à intégrer en temps réel des données provenant de systèmes "on-premise" de type SAP, Oracle et Microsoft.

Il est possible de coder des fonctions qui s’exécuteront dans le cloud Salesforce. Mais aussi des micro-services (créés par annotations, en Node.js, Ruby ou Java) qui peuvent être appelés par les applications mobiles. En outre, une intégration avec le PaaS Heroku de Salesforce est possible.

Points forts Points faibles
Points forts et points faibles de Salesforce1
SDK disponible pour un grand nombre de devices, Richesse de l’écosystème cloud Salesforce, Faible coût (seuls les comptes développeurs sont facturés) Usage limité aux applications mobiles d’entreprise