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Une machine Power Plate Photo © Power Plate
 

Les centres Power Plate se multiplient dans les grandes villes de France. Quasiment inexistant il y a deux ans et demi, le réseau compte aujourd'hui 250 adresses. Chacun disposant de ces fameux "plateaux d'accélération" qui affinent la silhouette sans effort grâce à leurs vibrations.

C'est à un Belge, Koen Vandenhoeck, que l'on doit l'introduction de ces machines néerlandaise en France. Avant de débarquer dans l'Hexagone, il a vendu son entreprise de machines de remise en forme pour les salles de fitness du Benelux.

Trois années difficiles

C'est sur un court de tennis du Sud de la France qu'il a entendu parler pour la première fois de Power Plate. "Mon adversaire, une Hollandaise, m'a dit que c'était une machine fabuleuse", se souvient-il. "Je ne connaissais pas et n'y ai pas porté d'attention." Mais quand, au cours d'un voyage aux Etats-Unis, on lui en loue encore les mérites, Koen Vandenhoeck réalise que le fabricant est un ancien client. Il décide alors de se lancer dans l'aventure.

"Pour lancer une affaire, il faut persister"

Pourtant, les premières années de son entreprise, Life Sport International, ont été difficiles. "Les salles de fitness française ne voulaient pas de ce matériel onéreux, raconte-t-il. Je vendait ces machines à 10.000 euros à quelques particuliers aisés." Pendant trois ans, les ventes ne décollent pas et ses proches lui conseillent de laisser tomber. "Pour lancer une affaire, il faut persister", martèle Koen avec le recul.

Ce sont les centres développés en partenariat qui vont lancer le phénomène en France. Des coachs y accompagnent les clients pendant les séances. En 2004, une vingtaine d'entre eux ouvrent leurs portes et Life Sport International réalise un chiffre d'affaires de 2,3 millions d'euros. En 2007, il devrait atteindre plus de 30 millions d'euros.


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