Free et l'UFC-Que Choisir s'expliquent au tribunal

C'est vendredi que le tribunal de Paris a examiné la plainte en diffamation de Free à l'encontre de l'association de défense des consommateurs UFC-Que Choisir, qui l'avait qualifié en mai 2005 d'"autiste", pour ne pas avoir répondu à certains recommandés envoyés par des clients connaissant des difficultés avec ses services. L'association avait alors prévenu que "des centaines de consommateurs, adhérents de l'association et victimes partout en France de l'opérateur Free, allaient saisir" des juges de proximité,  car "exaspérés" par les ratés des services de Free. L'avocate du FAI, citée par l'AFP , a expliqué que "ce communiqué était d'une brutalité inouïe. Il a claqué dans l'air sans aucun préalable", entraînant "la chute du cours de bourse de Free de près de 12 % dans les jours qui ont suivi".