Un coût humain élevé

"Le prix du safran est le prix du travail de l'homme", raconte joliment Véronique Lazerat. La culture du safran n'est en effet en rien, ou presque, mécanisable. La plantation des bulbes (en photo), l'entretien des terres, la récolte et le séchage se font à la main. "Chaque mois, je passe une centaine d'heures pour le désherbage", explique la cultivatrice.
©  Véronique Lazerat

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