Daniel Lavergne (Esthetic Center) relève les compteurs de ses salons

A 45 ans, Daniel Lavergne ne regrette qu'une chose. Ne pas s'être mis à la franchise plus tôt. Cet ancien cadre du secteur de la restauration souhaitait en effet depuis longtemps voler de ses propres ailes. "J'ai un profil de gestionnaire", précise-t-il. Les soins esthétiques, ce n'est pas sa spécialité. C'est pourtant sur ce créneau qu'il s'est engagé depuis 2005, en ouvrant un premier centre esthétique en périphérie de Toulouse.

"Dès le début, je souhaitais ouvrir plusieurs centres, pour pouvoir en vivre", raconte-t-il. Pari réussi, puisque d'ici la fin de l'année, il sera propriétaire de cinq centres dont il ne gère que les ressources humaines et le marketing. Et ça marche. Son centre le plus ancien réalise 322 000 euros de chiffre d'affaires et dégage 26 000 euros de bénéfices. Et les autres montent en puissance.