Prix au m2 de l'immobilier à Gonnelieu : derniers chiffres (59231)

Le prix médian du mètre carré est de l'ordre de 1 354 €/m² dans la Communauté d'agglomération de Cambrai. La valeur des parcelles constructibles se situe aux environs de 30 euros du m2. En comparaison, dans la région Hauts-de-France les terrains sont cédés à partir de 83 euros/m2.

Ville	Prix du m2	Evolution sur 6 mois
Gonnelieu (59231)	1 354 €/m2	+4 %
Rumilly-en-Cambrésis (59281)	1 441 €/m2	0 %
Cambrai (59400)	1 368 €/m2	+5 %
Neuville-Saint-Rémy (59554)	1 099 €/m2	0 %
Beauvois-en-Cambrésis (59157)	848 €/m2	-4 %
Caudry (59540)	977 €/m2	0 %

87 familles habitent dans la ville de Gonnelieu. 46,0 % de ces familles sont des couples sans enfant. 48,3 % sont des couples avec un enfant ou plus et 5,7 % sont des familles monoparentales. Les habitants de Gonnelieu sont à 28,7 % des jeunes de moins de 30 ans et à 24,9 % des plus de 60 ans. Les étudiants composent à 5,1 % la population locale. La gent masculine est plus représentée avec 54,0 % sur l'agglomération. Concernant les impôts locaux, les habitants doivent débourser d'un taux de 15,5 % de taxe d'habitation et 27,9 % de taxe foncière. L'encours de sa dette publique atteint 1 469 euros/habitant. Il faut aussi tenir compte du taux de chômage qui monte à 10,9 %. Alors que le revenu fiscal de référence est de 29 459 euros dans l'Hexagone, il ne dépasse pas les 24 748 euros dans cette ville. De surcroît, 88,5 % des habitants salariés de Gonnelieu sont en CDI et 6,6 % sont des cadres.

Dans la ville de Gonnelieu, le parc immobilier rassemble 146 logements pour une population de 283 personnes. La commune du Nord se distingue aussi par une part de maisons de 97,3 % et un pourcentage d’appartements de 2,7 %. Les résidents de Gonnelieu sont plus propriétaires que locataires. Ces derniers représentant 21,7 % des occupants de logements. La taille des habitations est diversifiée avec 3,1 % de 2 pièces, 0,0 % de studios et 55,8 % d’habitations de 5 pièces et plus. Le nombre d'habitations de la commune a augmenté de 1,4 % sur les cinq dernières années comptabilisées. Ensuite, 8,9 % des logements sont des logements vacants et 88,4 % sont des résidences principales. Dans l'Hexagone, le pourcentage de logements vacants ne dépasse pas les 8,6 %.