iPhone ou BlackBerry : 3 professionnels ont choisi Thierry Bedos (McAfee) : "A titre professionnel, il me fallait un PDA qui réponde à mes besoins"

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Thierry Bedos (McAfee) © McAfee

Patron de McAfee France depuis juin 2006, Thierry Bedos utilisait déjà le BlackBerry au sein d'autres sociétés avant de rejoindre le spécialiste de la sécurité. Il y a à présent 18 mois, l'éditeur a décidé de doter plusieurs de ses salariés de smartphones RIM : des BlackBerry Curve.

"A titre professionnel, il me fallait un PDA qui réponde à mes besoins. Nul besoin d'un outil qui propose 10 fois ce dont vous avez essentiellement l'utilité. Ce qui m'intéressait c'était le téléphone, le gestionnaire de contacts et l'email pour la réactivité qu'il permet. Je suis un habitué du clavier du BlackBerry. Il me permet de prendre connaissance de mes messages en déplacement et de répondre en temps réel. C'est ce que je demande à un mobile", précise Thierry Bedos.

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BlackBerry Curve © RIM

La mobilité et la réactivité sont en effet essentielles pour ce dirigeant d'entreprise. La fonctionnalité de push-mail permet ainsi de valider, même en déplacement, les projets commerciaux nécessitant son approbation. Jusqu'alors, Thierry Bedos devait attendre d'accéder à un ordinateur et consulter sa messagerie.

Quant aux fonctionnalités de navigation sur le Web et de photographie, il reconnait n'en faire qu'un usage occasionnel. Le surf sur Internet est utilisé ainsi pour chercher par exemple un restaurant à proximité ou consulter les informations de circulation. L'appareil photo intégré est employé lui à un usage exclusivement personnel.

Pour autant, si pour le dirigeant de McAfee l'aspect fonctionnel du téléphone prime, il avoue ne pas être totalement insensible à l'iPhone. "L'iPhone propose les mêmes fonctionnalités que j'utilise sur BlackBerry, avec en plus sans doute un aspect ludique. Si je devais, à titre personnel, opter pour un autre appareil, peut-être choisirais-je celui d'Apple. Néanmoins, en tant que professionnel, je lui préfère le BlackBerry et son clavier", insiste Thierry Bedos.