Protection de la vie numérique : face à la menace qui grandit, les Français veulent être accompagnés !

8 Français sur 10 se sentent concernés par les risques numériques et près de la moitié d'entre eux se disent prêts à souscrire à un service pour se protéger. Pour les banques et les assurances, généralement sollicitées après-coup, l'occasion se présente d'apparaître comme des sauveurs et de véritables partenaires, et non plus seulement comme de " simples " fournisseurs de services. Une excellente opportunité, en ces temps troublés, pour mériter la confiance et la fidélité de ses clients.

Aujourd’hui, 8 Français sur 10 se sentent concernés par les risques numériques et près de la moitié d’entre eux se disent prêts à souscrire à un service pour se protéger*. Si l’on en croit l'Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information, le nombre de cas de piratage a tout bonnement été multiplié par 4 en 2020. Tout le monde garde ainsi en mémoire les récentes cyberattaques dont ont été victimes les hôpitaux de Dax et de Villefranche-sur-Saône. Face à une menace qui augmente, on en vient à espérer une solution de protection de la vie numérique plus efficace et globale. Pour les banques et les assurances, généralement sollicitées après-coup, l’occasion se présente d’apparaître comme des sauveurs et de véritables partenaires, et non plus seulement comme de « simples » fournisseurs de services. Une excellente opportunité, en ces temps troublés, pour mériter la confiance et la fidélité de ses clients, particuliers comme professionnels.

Vol de données, usurpation d’identité et piratage : des risques qui augmentent

Sur le Dark Web, paradis de la cybercriminalité, on trouve tout ce qui est propre à satisfaire les esprits les plus malveillants. Données personnelles et papiers d’identité s’y négocient à des prix dérisoires et l’on peut facilement acquérir, pour quelques dizaines d’euros, un large catalogue de logiciels de piratage informatique. Ainsi, les fameux ransomwares, ces programmes capables de capturer des données, afin d’exiger une rançon, sont accessibles sous forme d’abonnement à partir de 70 ou 80 euros par jour. En matière de risques numériques, les Français redoutent particulièrement le vol de leurs données personnelles et financières, l’usurpation de leur identité, le piratage de leur compte e-mail ou de leurs réseaux sociaux, sans oublier le phishing. Côté entreprises, un rapport de 2020 soulignait que 34 % d’entre elles, et plus particulièrement les TPE et les professions libérales, avaient été la cible d’une ou plusieurs cyberattaques au cours des 12 derniers mois : les pertes liées à ces agressions ayant été multipliées par 6 dans le même temps**. Face à de tels risques, beaucoup se déclarent désormais démunis, d’autant qu’il existe sur le marché peu d’offres réellement susceptibles de les accompagner. On ne saurait, en l’espèce, se contenter d’un simple dédommagement après sinistre.

Une solution en 4 étapes : Prévention - Détection - Résolution – Assistance

Pour concevoir une solution réellement efficiente en matière de protection de la vie numérique, il convient d’associer plusieurs paramètres. Il faut tout d’abord sensibiliser les utilisateurs aux cyber-risques. Tous, nous produisons en permanence des contenus, nous partageons sans relâche des données personnelles, mais en cas d’usurpation d’identité, nous sommes loin d’en identifier toutes les conséquences. La prévention commence avec cette prise de conscience et cette phase d’information. Ensuite, il apparaît indispensable de surveiller les données les plus sensibles, susceptibles d’être dérobées : coordonnées bancaires, numéro de passeport, adresse e-mail… Si ces éléments sont transmis à une plate-forme sécurisée, il sera possible de les détecter dès qu’ils circuleront de manière suspecte sur Internet ou sur le Dark Web. On pourra ainsi avertir les utilisateurs concernés en cas de risque et les inviter à agir sans attendre. Si un piratage est avéré, ils auront sans doute aussi besoin d’être assistés dans leurs démarches administratives. De quels organismes doivent-ils se rapprocher ? Quelles sont les dispositions prévues pour se protéger et se défendre ? Tous les conseils prodigués devant bien sûr s’adapter à la situation de chacun. Au final, la prise en charge devra être autant financière que morale, les victimes, souvent déstabilisées, ayant besoin d’être à la fois dédommagées et informées très précisément sur la nature du préjudice subi.

Une opportunité à saisir pour les banques et les assurances

Les Français sont aujourd’hui 55 % à réclamer un service d’accompagnement global qui garantisse la protection de leur vie numérique, et, dans une proportion sensiblement équivalente, ils sont prêts à dépenser jusqu’à 5 euros par mois pour cela*. On peut véritablement parler d’un effet d’aubaine pour les banques et les sociétés d’assurances qui sont identifiés par les Français, comme les interlocuteurs les plus légitimes en la matière*. Pour ces acteurs économiques, c’est l’occasion ou jamais de créer des interactions profitables avec une large frange de la population, mais aussi de fidéliser des clients et, même, pourquoi pas, d’en arracher d’autres à la concurrence. Une telle offre d’appel, en phase avec les attentes du marché, s’insèrera également sans problème dans une stratégie de cross-selling bien pensée. Désormais, si l’on vous parle sécurité informatique, ne répondez plus seulement risque et couverture, mais plutôt prévention, détection, résolution et assistance. En deux mots : pensez solution !

* Selon l’étude « Les risques de cyber sécurité », menée par Toluna en décembre 2020 et janvier 2021 en partenariat avec Tenerity auprès d’un panel de 1 241 répondants âgés de 18 ans et plus.

** Il s’agit du rapport annuel Hiscox sur la gestion des cyber-risques, élaboré à partir d’une étude réalisée auprès de dirigeants, directeurs de service, responsables informatiques et autres professionnels clés.