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FIDA : Bruxelles oppose une nouvelle fin de non-recevoir aux banques
Defacto double la capacité de son fonds commun de titrisation
Revolut prévoit 400 recrutements pour renforcer sa présence en Europe de l'Ouest
Alerte sur l'arnaque des comptes rebonds, qui déferle sur le système bancaire français
Cerballiance va exploiter les données d’une partie de ses patients dans un entrepôt
A Taïwan, le secteur des semi-conducteurs touché par des cyberattaques chinoises
Des cartes mères Gigabyte vulnérables à une attaque contournant Secure Boot
Microsoft emploie des ingénieurs en Chine pour la maintenance IT de la défense US
OpenAI lance ChatGPT agent pour automatiser des tâches complexes
Mistral AI enrichit Le Chat avec un mode recherche approfondie et un assistant vocal
Substack lève 100 millions de dollars en misant sur les abonnements et... la publicité
États-Unis : la Chambre des représentants adopte une loi de régulation des cryptomonnaies
Allemagne : les modérateurs de Tiktok alertent sur leur emploi et l'IA
Just Eat continue ses licenciements, avec 2000 livreurs en Allemagne
Uber investit 300 millions de dollars dans Lucid, veut créer son propre robotaxi
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La vie après un bad buzz
En 2018, près d’une centaine de « bad buzz », ces crises de réputation en ligne, ont été recensées dans le monde . Bien que la tendance soit à la baisse depuis 2015, les marques restent fortement exposées depuis l’explosion des réseaux sociaux.
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Trois leviers méconnus pour les stratégies d’e-réputation
Communiquer en ligne ne suffit pas, il faut aussi gérer sa e-réputation. Dans la plupart des grandes organisations, le sujet est désormais bien connu, sinon bien déployé, avec des pratiques éprouvées, notamment la veille sociale, l’intervention efficace sur les réseaux sociaux, la gestion des avis clients et le traitement du bad buzz.
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