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19/10/2007
La revue de presse en ligne
» Un logiciel en guise de boule de cristal. Jerzy Rozenblit a reçu un financement de 2,2 millions de dollars pour concevoir un logiciel. Mais pas n'importe lequel puisque l'application aura pour mission de prévoir des événements politiques et militaires. Un logiciel pour prévoir l'imprévisible, titre UA News. Le chercheur, grâce à ce budget, doit notamment pouvoir prédire les actions de groupes paramilitaires ou terroristes, de certaines factions et de criminels. Ces prédictions ne tomberaient évidemment pas dans l'oreille d'un sourd et contribueraient à l'élaboration de stratégies pour sécuriser des zones avant, pendant et après des conflits. Pour se muer en madame Soleil, Jerzy Rozenblit fait appel à plusieurs algorithmes informatiques complexes réunis sous les termes d'Asymmetric Threat Response et d'Analysis Project. Ces algorithmes vont analyser des millions de données sur la base de facteurs sociaux, politiques, culturels, militaires et d'influence médiatique. Des méthodes de compilation faisant appel à la théorie des jeux, à la co-évolution et à la génétique seront mises à contribution. Les algorithmes de co-evolutions doivent ainsi analyser comment les actions d'un groupe peuvent influer sur celles d'autres groupes et comment ceux-ci s'évoluent pour s'adapter aux changements de leur environnement. Grâce à sa puissance de calcul le supercalculateur Deep Blue avait pu prévoir les actions de son adversaire dans une partie d'échec et le battre. La complexité est cependant ici nettement accrue, puisqu'il s'agit de prévoir des actions qui ne se limitent pas au déplacement de pièces sur un échiquier et englobent un plus grand nombre d'individus. [Lire] » 8 raisons de ne pas externaliser en Inde. Après avoir consacré un article énumérant 7 bonnes raisons d'outsourcer en Inde, CIO revient cette fois sur les 8 raisons de dire au revoir à Bangalore et pourquoi l'outsourcing peut impacter votre activité. CIO cite tout d'abord la mauvaise qualité des infrastructures, notamment routière. Vient ensuite la hausse des coûts et l'appréciation de la monnaie indienne, le Roupie. Les qualités et le prix de la main d'uvre restent un atout de l'Inde, mais les salaires n'ont cessé de croître. Les rémunérations à Bangalore progressent ainsi de 12 à 14% chaque année. Si votre entreprise doit être en relation permanente avec un prestataire ou une filiale en Inde, le décalage horaire sera une forte contrainte. Les tâches complexes nécessiteront la présence d'un responsable de projet sur place. CIO soulignent également la croissance rapide des prestataires de services indiens comme Tata Consultancy ou Wipro. Très occupés à gérer leur propre expansion, ils ne pourraient pas toujours accorder l'attention et les ressources nécessaires. Les entreprises doivent tirer un trait également sur leur espoir de s'affranchir de posséder des infrastructures informatiques ou celui de confier leur personnel. Les fournisseurs indiens prendront en charge l'administration et recruteront éventuellement certains salariés. Sixième raison, ne vous angoissez pas, les salariés indiens parlent parfaitement anglais. Ils sont aussi bilingues CMM (Capability Maturity Model). Mieux vaut par conséquent pour l'entreprise cliente maîtriser CMM. Attention aussi au turnover du personnel, de plus en plus marqué à mesure que la demande s'accroit. Enfin, dernier argument jouant en la défaveur de l'Inde : l'existence d'autres acteurs de l'outsourcing : Amérique latine, Europe de l'Est, Caraïbes, Asie... [Lire] » Piratage et descente de police musclée. Quelle n'a pas été la surprise de ce couple américain lorsqu'elle a été réveillée en pleine nuit par une escouade d'agents du SWAT (une brigade de choc américaine). Fusils d'assaut, chiens et hélicoptère les ont tirés du lit. Etonnement aussi du côté des forces de l'ordre qui pensaient être confronté à un meurtrier armé d'une arme à feu. Les policiers d'élite auraient-ils tourné dans la mauvaise rue ? Non, ils ont simplement été induits en erreurs par une fausse alerte déposée après le piratage du service d'urgence, le 911, relate Ocregister.com. Grand moment d'angoisse pour le couple malheureux qui ne comprend toujours pas pourquoi il a été la cible de ce canular. Randal Ellis, suspecté d'être le jeune pirate responsable de cette intrusion et de cette fausse alerte aurait en vérité laissé le hasard décider. Randal Ellis serait également impliqué dans d'autres affaires similaires dans différentes villes des Etats-Unis, dont Mukilteo où il réside. La police n'a rien dévoilé sur les méthodes utilisées par le hacker pour accéder au système d'urgence et tromper les agents du SWAT. [Lire]
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