Prix au m2 de l'immobilier à Érize-la-Petite : derniers chiffres (55260)

Pour l'ensemble du parc immobilier, le prix du m² est estimé à 696 euros net vendeur dans la Communauté de communes de l'Aire à l'Argonne.

Ville	Prix du m2	Evolution sur 6 mois
Érize-la-Petite (55260)	696 €/m2	+1 %
Bar-le-Duc (55000)	1 046 €/m2	+7 %
Saint-Mihiel (55300)	576 €/m2	+11 %
Verdun (55100)	1 483 €/m2	+15 %
Thierville-sur-Meuse (55840)	1 477 €/m2	+8 %
Belleville-sur-Meuse (55430)	1 219 €/m2	+10 %

Les femmes sont plus représentées avec 54,55 % sur l'agglomération. La population de la ville d'Érize-la-Petite est constituée de 15,91 % d’enfants de moins de 15 ans et 9,09 % de plus de 75 ans. Les étudiants composent à 4,17 % la population de la ville. À Érize-la-Petite habitent 24 ménages. 52,63 % de ces ménages sont des couples sans enfant. 26,32 % sont des familles monoparentales et 26,32 % sont des couples avec un enfant ou plus. La commune de la Meuse affiche 6,94 % de taxe d'habitation et 27,79 % de taxe foncière d'après la valeur locative des biens. La dette contractée par la ville atteint les 589 euros/habitant. En outre, 91,67 % des habitants salariés de la ville d'Érize-la-Petite sont en CDI et 26,32 % sont des cadres. Le revenu fiscal de référence y est de 31 900 euros contre 29 459 euros en moyenne dans l'Hexagone. Le taux de chômage dans la commune a atteint les 4,76 %. A titre de comparaison, celui du département de la Meuse est de 9,44 %.

La commune de la Meuse se distingue aussi par une part de maisons de 88,46 %, ainsi qu'un pourcentage d’appartements de 11,54 %. Les résidents d'Érize-la-Petite sont plus nombreux à être propriétaires (65,00 %). Dans la ville d'Érize-la-Petite, pour une population de 43 personnes le parc immobilier correspond à 26 logements, soit une moyenne de 1,69 habitant par logement. La superficie des habitations est variable avec 35,00 % de 4 pièces, 0,00 % de studios et 65,00 % d’habitations de 5 pièces et plus. De surcroît, le pourcentage de logements vacants culmine à 23,08 %. Sinon 76,92 % des habitations sont des résidences principales et le reste représente les maisons secondaires. Le parc immobilier de l'agglomération s'est amoindri de -3,85 % sur les cinq dernières années.