Prix au m2 de l'immobilier à Romilly : derniers chiffres (41270)

Dans la Communauté de communes du Perche et Haut Vendômois, le prix du mètre carré est de 970 euros net vendeur. Pour la France entière, ce prix ne dépasse pas les 2 450 euros le m². Quant aux maisons individuelles, leur prix est estimé à 970 euros du m2 pour les demeures anciennes.

Ville	Prix du m2	Evolution sur 6 mois
Romilly (41270)	970 €/m2	+1 %
Vendôme (41100)	1 790 €/m2	+14 %
Montoire-sur-le-Loir (41800)	1 030 €/m2	+8 %
Mer (41500)	1 390 €/m2	nc
Blois (41000)	1 860 €/m2	+10 %
Vineuil (41350)	1 980 €/m2	nc

À Romilly vivent 64 ménages. 21,95 % de ces ménages sont des couples avec un enfant ou plus, 65,85 % sont des couples sans enfant et 12,20 % sont des familles monoparentales. Romilly est une agglomération très âgée puisque les plus de 60 ans constituent 39,85 % de la population. Dans l'Hexagone, le pourcentage de plus de 60 ans est en moyenne de 28,68 %. Avec 52,63 % de personnes de sexe masculin dans l'agglomération, la gent masculine est mieux représentée que celle des femmes. Le revenu fiscal de référence de la ville est de 18 683 euros contre 26 864 euros en moyenne dans l'Hexagone. Le taux de chômage dans la commune culmine à 12,73 %. Les habitants de la ville de Romilly sont à 0,00 % des cadres et à 77,42 % des salariés en CDI. La commune du Loir-et-Cher affiche 8,26 % de taxe d'habitation et 15,43 % de taxe foncière d'après la valeur locative des biens. La ville cumule 0 euros/habitant de dette.
À Romilly, le parc immobilier rassemble 95 logements pour une population de 133 personnes, ce qui représente une moyenne de 1,4 habitant par logement. La superficie des logements est diversifiée avec 29,2 % de 3 pièces, 0,0 % de studios et 33,8 % d’habitations de 5 pièces et plus. Les résidents de Romilly sont plus nombreux à être propriétaires (70,8 %). Le nombre de logements de la commune s'est amoindri de -20,0 % sur cinq ans, contre 4,0 % dans le département du Loir-et-Cher. De surcroît, 14,7 % des logements sont des logements vacants et 68,4 % sont des résidences principales. Dans l'Hexagone, le taux de logements vacants ne dépasse pas les 8,7 %. La commune du Loir-et-Cher se qualifie aussi par une part de maisons de 94,7 % et un pourcentage d’appartements de 5,3 %.