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Les associations prennent en charge les stocks d'invendus des commerçants. Photo ©
 

Aucune solution ne s'avère finalement rentable ? Restent les associations caritatives (Emmaüs, Croix rouge...).

La Fédération des Banques alimentaires récupère ainsi chaque année 18.000 tonnes de produits auprès des grandes surfaces.

Il s'agit de produits dont la date limite de consommation (DLC) est proche, ou dont l'emballage est abîmé, bref, qu'il est impossible de vendre.

Mais on ne peut pas donner n'importe quoi à ces associations : les produits périmés sont bien entendu refusés et le réseau ANDES des épiceries solidaires intègre même un cahier des charges nutritionnel.

Les associations récupèrent aussi des vêtements. L'an dernier, Kindy et Pimkie ont fait don de leurs surstocks à Emmaüs.

Certes, on ne gagne rien, mais la formule présente tout de même plusieurs avantages. D'abord, les associations viennent chercher elles-mêmes la marchandise et n'engendrent donc pas de frais de transport. Et surtout, les exonérations d'impôts permettent de gagner 50% du prix des dons.