A lire ailleurs
14/12/2007
La revue de presse en ligne
» Le top 10 des excuses IT. Travailler dans le secteur IT exige de savoir présenter des excuses parfois fréquemment. C'est ce qui ressort de cette anthologie des plus belles excuses IT réalisée par CIO. Et pour éviter d'avoir trop souvent à s'excuser, le premier conseil à appliquer semble être de surveiller ses propos. La déclaration de Bill Watkins, patron de Seagate, affirmant que ses produits de stockage n'avaient pour but que d'aider les gens à acheter plus de bêtises et à regarder du porno, n'est malheureusement pas tombée dans l'oreille d'un sourd. Et lorsqu'un auditeur de cette logorrhée a retranscrit ces propos, le dirigeant n'a pu que s'excuser et prétexter que ses mots avaient été retirés de leur contexte. Kevin Mitnick, ancien pirate au long casier judiciaire, a lui signé sa repentance dès 2000 lors d'une conférence de développeurs. Mark Hurd et Patricia Dunn de HP après une affaire d'espionnage interne et auprès de journalistes ont eux aussi dû en passer par des excuses. Et la première marche du podium revient paradoxalement au moins adepte de la repentance publique : Steve Jobs. Les premiers acheteurs de l'iPhone qui n'auront pas profité de la réduction soudaine de 200 dollars ne peuvent se prendre qu'à eux même. [Lire] » DSI en Antarctique. Henry Malmgren n'est pas un DSI comme les autres. Son activité se partage entre deux sites : l'un à Denver aux Etats-Unis et un second, moins courant, en Antarctique. Et l'homme n'a pas peur du froid, et brave allègrement une température de moins 64 degrés Fahrenheit. Henry Malmgren explique à ComputerWorld n'être jamais sorti des Etats-Unis jusqu'à obtenir son diplôme. Après une histoire d'amour avec une étudiante familière des voyages en Europe, il décide lui aussi de voyager et d'aller trouver du travail loin de la mère patrie. Lorsqu'une offre d'emploi en Antarctique ressort sur un site d'emploi, l'homme n'hésite pas une seconde et postule. Depuis, le DSI veille à l'ensemble des systèmes satellites, téléphonique et radios sur ce site du pôle Sud. L'informatique dont dépendent les 250 personnes au printemps - 70 en hiver - présentes sur le site relève de sa responsabilité. Sa préoccupation principale : la sécurité. La gestion des vulnérabilités et l'application des patchs occupent en effet un tiers du temps de ce DSI et de son équipe informatique de sept personnes. Sept ingénieurs qui pour obtenir cette place au bout du monde ont dû se confronter à une concurrence acharnée, même si des prestataires en Irak et en Afghanistan tendent désormais à offrir des rémunérations bien supérieures, réduisant le nombre de postulants pour l'Antarctique. Beaucoup de personnes se demandent souvent si la différence de température entre -100 et -60 degrés est perceptible, s'amuse Henry Malmgren. Sa réponse : Absolument. [Lire] » Les données de recherche de Ask confiées à Google. Si le moteur Ask au travers de Ask Eraser s'est engagé à effacer les données de recherche des internautes tels que les identifiants de session, le contenu textuel des recherches ou les adresses IP, ces informations ne disparaissent pas pour autant totalement. Certes, elles ne sont plus stockées sur les serveurs de Ask, mais elles glissent vers ceux de Google, son partenaire pour l'affichage de liens sponsorisés. Les données sont en effet transmises à Google dans le cadre de sa lutte contre la fraude au clic. Quant à savoir quelles autres utilisations le géant de la recherche fait de ces informations, Doug Leeds de Ask, interrogé par InformationWeek, ne peut en dire plus. Néanmoins, reconnait le site d'information, Ask demeure l'un des moteurs de recherche les plus soucieux du respect de la vie privée de ses utilisateurs, tout en citant néanmoins Ixquick.com, dont les données sont effacées dans les 48 heures. [Lire]
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