10/07/2007
Il y a 5 ans : 60 milliards de dollars par
an pour les bugs américains
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Toutes les semaines, retour sur un événement marquant de l'actualité de l'industrie informatique & télécoms d'il y a 5 ans. |
Le chiffre paraîssait alors colossal : selon l'étude financée
par le "National Institute of Standards and Technology" (NIST), le manque
de qualité des logiciels coûtait à l'économie américaine
la bagatelle de 59,5 milliards de dollars, soit 0,6% du produit intérieur
brut. 21,2 milliards étaient endossés par les développeurs
de logiciels eux-mêmes et 38,3 milliards par les utilisateurs. Des coûts
calculés en évaluant le temps consacré par les utilisateurs
et les développeurs à la résolution des problèmes
logiciels ainsi que les pertes de productivité qui en découlent.
Pour arriver à ces conclusions, les analystes avaient, 18 mois durant,
procédé à des études de cas sectorielles, dans l'industrie
automobile, l'aéronautique ou encore les services financiers.
Avec, à chaque
fois, le souci d'identifier les coûts suscités par ce que le rapport
nommait "une infrastructure de test des logiciels inadaptée".
Le rapport produit à l'issue de l'étude (plus de 300 pages) ne se
limitait pas aux constats mais tentait aussi d'entrevoir dans quelle mesure cette
somme pouvait être revue à la baisse.
Le NIST observait que si la grande majorité des bugs étaient
"introduits" dans les toutes premières étapes des développements,
la moitié d'entre eux n'étaient identifiés que dans la dernière
ligne droite du développement ou durant la commercialisation...
En décryptant l'impact d'un bug sur toute la chaîne de production
du logiciel, les analystes estimaient qu'un contrôle renforcé de
la qualité logicielle permettait de réduire d'un tiers (soit de
22,5 milliards de dollars) le coût des bugs, ce coût étant
réduit d'un tiers pour les utilisateurs et de la moitié pour les
développeurs.
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ET
AUSSI (du 02/07 au 09/07/2002) |
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Linux envahit les studios d'animation américains |
De plus en plus de studios d'animation américains choisissent
de travailler sur une infrastructure Linux. Dernier en date, les studios Disney,
qui ont annoncé le 18 juin dernier leur volonté d'utiliser le système GNU/Linux
pour leurs créations. Disney rejoint ainsi d'autres grands noms du cinéma d'animation
tels que Dreamworks SKG, Pixar Animation Studios, R&H (Rythm & Hues) ou encore
ILM (Industrial Light & Magic). |
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Streetmap entre sur le terrain de la géolocalisation |
le britannique Streetmap qui limitait jusqu'ici son champ d'action
au territoire de la Grande Bretagne vient tout juste de dévoiler une solution
couvrant l'ensemble de la zone européenne. Dessiné pour les assistants
personnels, ce produit, qui s'appuie sur le protocole sans fil GSM, tire parti
des informations délivrées par les bases de Navigation Technologies
(NavTech) en matière de traffic. |
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XML pour la reconnaissance vocale |
Le World Wide Web Consortium (W3C) publie une spécification sur
la mise en place de grammaires pour la reconnaissance de la parole - qui doit
permettre aux auteurs d'applications vocales de créer des règles décrivant les
possibilités de réponses d'utilisateurs après l'écoute de messages d'un serveur
vocal. |
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SOMMAIRE |
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Juillet 2007 |
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03/07 |
L'éditeur Reef déposait le bilan |
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Juin 2007 |
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26/06 |
Netasq levait 4 millions d'euros |
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19/06 |
France Telecom faisait parler les intranets |
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12/06 |
Novell croquait Silverstream |
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05/06 |
Caldera, TurboLinux Connectiva, SuSe s'unissaient
pour standardiser Linux |
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Mai 2007 |
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29/05 |
Sony faisait confiance à Intertrust pour la gestion
des droits numériques |
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22/05 |
Calendra levait des fonds pour conquérir les Etats-Unis |
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15/05 |
Microsoft absorbait Navision |
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09/05 |
Néolane levait 2 millions d'euros |
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02/05 |
Les variantes de Klez se multipliaient |
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