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DSI : 15 questions pour s'auto-évaluer

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Si, historiquement, le DSI a toujours eu le besoin d'être autonome et responsable sur un plan technique, ses capacités de prises de décision s'étendent aujourd'hui à d'autres domaines, tels que ceux du management, de la stratégie d'entreprise, de l'alignement avec les processus métiers.

"L'autonomie se mesure aussi à la capacité à maîtriser des domaines qui frisent avec l'orientation stratégique et les ressources humaines"
(Guillaume Lefebvre - Ornis)

Sur ce dernier point, la souplesse des processus SOA, par exemple, permet la mise en place par le DSI d'une infrastructure qui va lui permettre de répondre aux évolutions des métiers avec une certaine latitude vis-à-vis des directions métiers. Un choix à réfléchir, donc.

Mais au-delà des contingences techniques, l'autonomie se mesure aussi à la capacité à maîtriser des domaines qui frisent avec l'orientation stratégique et les ressources humaines. " Au niveau du recrutement, nous faisons en sorte de mesurer l'ensemble des compétences du candidat. Quand il évoque des expériences passées, s'il ne parle que de technique, cela signifie qu'il n'a pas forcément d'éléments à faire valoir dans le domaine stratégique et managérial. En revanche, s'il prononce des termes tels que "qualité" ou "turn over", cela signifie que dans ses postes précédents, il a eu des responsabilités dans ce domaine, ce qui est forcément une bonne chose", note Guillaume Lefebvre (Ornis).

Apprécier son degré d'autonomie, c'est aujourd'hui pour un DSI mesurer l'impact de ses propres décisions sur sa DSI bien sûr, mais aussi sur la performance globale de l'entreprise.

 


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