-
Chroniques de Annie Combelles
-
PDG / Gérant, Collectif Kintsugi
A propos du Collectif Kintsugi,
Le Kintsugi est un art ancestral japonais qui consiste à réhabiliter des objets brisés au moyen de poudre d’or. C’est une façon de lui redonner vie en tenant compte de son histoire et des accidents qu’il a pu connaître, pour le magnifier.Le collectif Kintsugi[1] s’est créé au cours de la crise vécue au printemps 2020 et rassemble des femmes et des hommes, leaders engagés, qui pensent que les organisations méritent une approche similaire : les ruptures qu’elles connaissent ne doivent pas être ignorées et font partie de leur histoire, de leur identité et de leur capacité à rebondir.La mission que le collectif se donne est de contribuer à faciliter un rebond dont l’énergie doit être puisée au sein même des organisations. Avec son expérience collective, ses propres cassures dues à la crise et une boîte à outils riche ; sans chercher à dérouler une recette générique, en transformant les enseignements de la crise en projectio
Suivre sur :
Linkedin
Dernières chroniques de Annie Combelles
-
Chronique d'Annie Combelles, Collectif Kintsugi
Nous avons besoin d'un rebond enrichi par l'expérience par tout ce que nous aurons découvert dans nos environnements personnel ou collectif pendant la période inédite du confinement.
-
Chronique d'Annie Combelles, Collectif Kintsugi
Rappelons que le Kintsugi est dans la culture japonaise l'art de réparer des porcelaines brisées avec une technique qui laisse apparente les cassures en les soulignant avec des joints en or. Sa fracture ne signifie plus sa fin, mais le début d'un autre cycle, d'un renouveau.
-
Chronique d'Annie Combelles, Collectif Kintsugi
La crise du Covid-19 est une crise basée sur la peur : toutes les décisions qui ont conduit à un arrêt quasi total de l'économie résultent de la peur d'une mortalité insupportable. Elle a engendré un repli sur soi-même jamais vécu auparavant.
-
Chronique d'Annie Combelles, Collectif Kintsugi
Nous traversons une crise sanitaire d'abord qui a des répercussions économiques et financières énormes. Du jamais vu. Ce constat en appelle trois autres